|
|
|
Actualités | Télécharger notre calendrier | |
|
|
EXTRAITS DE PRESSE A PROPOS DU SPECTACLE
Cérémonies
Des acteurs formidables, une mise en scène simple et sobre, une scénographie simplement magnifique.
Arte TV
Dans un troublant rituel, jeux de domination et d'autodestruction se confondent, sur fond d'enfermement et de mythomanie. Mis en scène par Patrick Simon, Julien Bouanich, Sylvain Levitte et Ariane Simon, lumineuse, sont les douloureux interprètes de ce cérémonial entre Genet et le William Golding de Sa Majesté des mouches.
La Croix
L’histoire d’un cérémonial théâtral entre deux copains de même souffrance. Un affrontement qui se résoudra par un rituel barbare…Les ruptures, échappées, fuites, volte-face des garçons rythment un temps flirtant entre passé et présent quand la tendresse adolescente est profonde. Un hommage rendu à la jeunesse.
La Terrasse
De la première à la dernière seconde, le spectacle est incroyablement intense grâce à la très heureuse combinaison d’un texte magnifique et d’un interprétation magistrale, frémissante d’un bout à l’autre. Un face à face haletant.
Les Trois Coups
EXTRAITS DE PRESSE A PROPOS DU TEXTE
Cérémonies
L’Ecole des loisirs publie ce printemps dans sa collection « Théâtre » trois nouveautés françaises. La plus poignante, Cérémonies de Dominique Paquet, se lit comme un excellent roman. Dès les premiers échanges, le lecteur est emporté par ce texte bien construit et bien écrit. Echanges violents comme des coups entre Razou et Radieux, deux garçons du même âge réunis par la même galère. Razou, lui, n’a pas encaissé cette accumulation de souffrance mentale et physique. Il est devenu maboul, menteur haineux, il n’arrive plus à parler (…) Alors l’adolescent broyé a trouvé une échappatoire. Un rituel, qu’il impose à son compagnon d’infortune.
Catarina Mercuri, Le Monde, 30 avril 2004
Dans Cérémonies, Dominique Paquet met en scène deux garçons et une fille et plonge le lecteur dans une atmosphère où abandon, enfermement, mythomanie, ambiguïté sexuelle s’entremêlent.
Le Monde, 19 février 2005
Rude dialogue et troublant cérémonial entre deux copains, deux adolescents, unis par la même souffrance et qui ne trouvent à s’échapper que par cet affrontement, construit comme un rituel barbare. Razou le plus grand le plus fort, le mauvais garçon perdu, ligote et terrorise l’autre Radieux, pour qu’il parle, qu’il raconte, qu’il trouve les mots que lui-même ne possède pas pour célébrer son « itinéraire merveilleux » La douleur, la violence et l’angoisse sont au cœur de cette pièce d’une remarquable tension dramatique.
La revue des livres pour enfants, 2004
Du théâtre contemporain pour les ados (à partir de 14 ans) qui traite de la manipulation mentale, de la force, de la violence. Un texte très fort et très bien écrit qui fait entrer dans l’esprit de ces deux héros. J’ai rarement eu l’occasion de lire une pièce de théâtre aussi remarquable sur des ados qui se cherchent.
Catherine Dhilly, Livre ados, Revue de la Médiathèque départementale du nord, 2005
|